PPDA coupé du monde ? Découverte de sa retraite perchée à 13 mètres !

PPDA

Et si fuir les projecteurs devenait un acte de survie ? Loin du tumulte médiatique et des scandales judiciaires, une figure autrefois incontournable du journal télévisé français s’est retirée… dans les arbres.

Patrick Poivre d’Arvor, ou PPDA pour les intimes, a troqué les studios de TF1 pour une cabane perchée à 13 mètres du sol, en pleine forêt bretonne. Oui, vous avez bien lu : l’icône du 20h vit désormais au milieu des cimes, dans un sanctuaire suspendu, entouré par les chants d’oiseaux et la force tranquille de la nature. Une retraite radicale, presque mystique, pour celui dont le nom reste entaché par de lourdes accusations.

Mais cette cabane, ce n’est pas qu’un simple refuge. C’est « sa bulle d’oxygène », un lieu où il se reconnecte à son passé, à son amour de toujours, Véronique, rencontrée ici même, en Bretagne, à l’aube des années 60. Entre souvenirs d’enfance, amour perdu et tempêtes naturelles, PPDA vit aujourd’hui un quotidien silencieux, rythmé par la lecture, l’écriture, et l’observation du vivant.

Ni l’incendie de 2023, ni la tempête Ciaran n’ont eu raison de cette cabane hors du temps. Résiliente, comme son occupant. Mais ce retour à l’essentiel est-il une fuite ? Une quête de paix intérieure ? Ou un moyen de se faire oublier ? Une chose est sûre : la vie de PPDA dans les arbres fascine autant qu’elle interroge.

Une cabane dans les arbres : quête d’isolement ou besoin de reconstruction ?

Le choix de Patrick Poivre d’Arvor de s’installer dans une cabane en hauteur peut sembler insolite, voire romanesque. Mais au-delà de l’image pittoresque, c’est un véritable besoin de rupture avec le monde d’en bas – celui des projecteurs, des procès et des jugements. À 13 mètres du sol, PPDA semble chercher non seulement la solitude, mais aussi une forme de purification, presque monacale. Dans cette cabane perchée, l’ancien journaliste retrouve un rythme lent, loin de la frénésie médiatique qui l’a porté – puis broyé.

Ce repli dans la nature bretonne résonne avec un besoin universel : celui de se recentrer, de fuir le tumulte quand tout s’effondre. Dans les bois, il n’y a ni micro tendu, ni manchette scandaleuse, juste le silence et les saisons qui passent. Pour certains, ce choix évoque une fuite. Pour d’autres, il s’agit d’un acte de survie, d’un retrait stratégique face à la pression judiciaire et médiatique. Un exil volontaire, qui questionne notre rapport au pardon, à la justice… et à la rédemption possible.


De l’homme public à l’ermite moderne : une métamorphose dérangeante

Autrefois figure centrale du paysage audiovisuel français, Patrick Poivre d’Arvor est devenu, en quelques années, un symbole de chute. Mais au lieu de se défendre sur les plateaux ou d’enchaîner les interviews comme le font d’autres personnalités controversées, il a choisi le silence. Un silence bruyant, qui fascine autant qu’il dérange.

Vivre dans les arbres n’est pas anodin : cela évoque une prise de hauteur, une distanciation volontaire avec le tumulte du monde. Mais c’est aussi un geste lourd de sens. Cette retraite en pleine nature, presque théâtrale, s’inscrit dans une tradition ancienne de ceux qui, après une disgrâce, cherchent à se réinventer loin du regard des autres. L’image du présentateur vedette devenu solitaire sylvestre alimente le récit d’un homme en rupture, mais aussi celui d’un mystère non résolu.

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Par La rédaction

Clara est votre amie passionnée de l'univers glamour des célébrités. Avec son style chaleureux et authentique, elle vous dévoile les dernières actualités du showbiz, des histoires inspirantes des stars et des coulisses inédites du monde du divertissement. Toujours à l'écoute, Clara partage des contenus exclusifs, des anecdotes captivantes et des analyses sur les tendances qui font vibrer Hollywood et au-delà.

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