🎬 Et si jouer Céline Dion à l’écran était l’un des plus grands défis d’actrice ?
C’est exactement ce qu’a vécu Valérie Lemercier dans Aline, le film librement inspiré de la vie de la star québécoise. Mais derrière les paillettes, l’actrice a révélé un choix surprenant : un refus catégorique pendant le tournage.
En plongeant dans la peau d’une icône mondiale, Valérie Lemercier savait qu’elle devait marcher sur un fil : être crédible, sans jamais tomber dans la caricature. Elle a donc accepté beaucoup de contraintes… sauf une. Alors que l’équipe envisageait de tourner certaines scènes dans la maison d’enfance de Céline Dion, située à Charlemagne, au Québec, elle a dit non.
👉 Pour elle, il était impensable de “fouler sa propre vie”. Jouer Céline, oui. S’asseoir dans son vrai salon, non. Par respect pour l’intimité de la chanteuse, elle a préféré garder une distance, se contentant de deux fauteuils prêtés, qu’elle osait à peine utiliser.
Mais ce n’est pas tout. Pour construire ce rôle hors norme, Valérie Lemercier a adopté une méthode singulière : pas question d’imiter l’accent québécois à l’excès, ni de répéter inlassablement ses scènes. Elle a improvisé, appris le labial “à l’arrache” la veille des tournages, et parfois corrigé sa voix en post-synchronisation. Son secret ? Des micro-siestes quotidiennes, indispensables pour tenir le rythme effréné des tournages et des séquences chantées.
👉 Ce mélange de rigueur, de respect et d’improvisation donne à Aline une saveur particulière : plus qu’un biopic, une déclaration d’amour libre et sincère à Céline Dion.
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