👉 Et si votre échappatoire se trouvait à 6 600 kilomètres de chez vous ? Christophe Willem, lui, a trouvé son paradis loin du tumulte français — un endroit où tout semble à la fois chaotique et profondément vivant. Ce pays, il ne s’en lasse jamais. Il l’appelle son refuge.
Derrière les projecteurs, les interviews et les tournées, l’artiste au timbre unique s’offre régulièrement une parenthèse enchantée… au Brésil. Oui, ce pays vibrant, intense, parfois déroutant, mais toujours profondément humain. Là-bas, il trouve une énergie brute, une nature puissante, et surtout, une philosophie de vie qui l’inspire : vivre l’instant présent, sans filtre, sans attente.
Ce n’est pas un hasard si son album Rio résonne autant avec cette destination. Même si le projet n’a pas eu le succès escompté, il n’a jamais entamé l’amour que Christophe porte à ce territoire. « On y voit le pire et le meilleur », confie-t-il. Et c’est justement cette dualité qui le touche : une pauvreté criante, une richesse éclatante, mais toujours cette joie de vivre contagieuse.
C’est aussi au Brésil que l’artiste a vécu une perte intime : celle de sa fidèle chienne Samba, qu’il avait nommée en hommage à cette culture qu’il chérit tant. Comme un symbole fort, elle s’est éteinte dans ce pays qu’il rêve aujourd’hui de rejoindre définitivement.
Christophe Willem n’a peut-être pas encore fait ses valises pour de bon, mais son cœur, lui, est déjà là-bas.
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