Jane Birkin, icône intemporelle de la musique et du cinéma, a toujours fasciné par son charme naturel et sa personnalité unique. Mais derrière cette allure détachée se cachait une habitude bien plus surprenante : une addiction inattendue aux somnifères. C’est son amie proche, Gabrielle Crawford, qui a révélé cette facette méconnue de la vie de l’artiste dans une interview pour Paris Match. Selon Crawford, Jane n’a jamais eu besoin de drogue pour profiter de la vie, contrairement à certaines rumeurs persistantes. Cependant, il y avait une exception : les somnifères.
Gabrielle raconte avec amusement que Jane était incapable de dormir malgré la quantité impressionnante de somnifères qu’elle consommait, au point même de les distribuer autour d’elle, comme un geste de partage après un repas. « Je n’ai jamais vu quelqu’un prendre autant de somnifères sans réussir à dormir », dit-elle. Cette dépendance aux hypnotiques était devenue une constante dans la vie de l’icône, si bien que, chaque fois qu’elle déménageait, le pharmacien du quartier devenait l’un de ses plus proches alliés.
Mais Jane Birkin ne s’est jamais laissé séduire par la chirurgie esthétique, un autre domaine où de nombreuses célébrités se perdent. À l’exception de quelques injections occasionnelles, elle a toujours conservé sa beauté naturelle. Pourtant, même avec cette apparence envoutante, elle restait son pire critique, admirant la beauté des autres tout en se concentrant sur ses propres imperfections.
Avant de s’éteindre, Jane Birkin avait un souhait : mourir loin des regards indiscrets. Elle redoutait que son visage, gonflé par les médicaments, ne devienne un spectacle pour les autres. Finalement, ce désir a été respecté, et Jane est partie paisiblement, entourée uniquement de ses enfants.
Une dépendance aux somnifères révélée par son amie de toujours
L’image de Jane Birkin a toujours été celle d’une artiste libre, insouciante, et mystérieusement détachée. Mais derrière cette allure légère se cachait une dépendance que seule une amie proche, Gabrielle Crawford, a récemment dévoilée. Dans une interview pour Paris Match , Gabrielle a révélé que Jane avait une habitude surprenante : une addiction aux somnifères. Contrairement aux rumeurs la liant à des substances plus dures, Jane n’a jamais été tentée par la drogue. En revanche, ces somnifères lui offriraient une évasion, un moyen de se couper du stress du quotidien et des pressions du milieu artistique.
Cette dépendance, bien que secrète, faisait partie intégrante de la vie de Jane. Gabrielle explique que, malgré la quantité de somnifères qu’elle prenait, Jane parvenait rarement à trouver le sommeil, évoquant même des soirées où l’artiste en offrait autour d’elle avec humour. Cet aspect caché de sa personnalité rappelle que même les icônes les plus inspirantes peuvent avoir leurs failles, ajoutant de la profondeur à l’image déjà complexe de Jane Birkin.
Jane Birkin et les somnifères : entre humour et besoin de répit
Loin des excès rock’n’roll souvent associés aux célébrités, Jane Birkin a mené une vie simple, mais marquée par un rapport singulier aux somnifères. Gabrielle Crawford décrit, non sans amusement, une Jane distribuant parfois des somnifères comme de simples bonbons après un repas, partageant ces comprimés avec légèreté. Cet acte anodin cachait pourtant un besoin plus profond : celui de trouver le calme dans une vie rythmée par les tournées, les concerts et les attentes du public.
Jane Birkin, avec son charme unique, a su transformer cette dépendance en un geste presque tendre et généreux, loin de l’image sombre que l’on peut associer aux addictions. En partageant cette facette intime de la vie de Jane, Gabrielle offre un regard plus humain sur l’icône, montrant qu’au-delà de la scène et des flashs des photographes, Jane luttait avec des difficultés comme chacun de nous. Cette révélation souligne le besoin, même pour les personnalités publiques, de se protéger et de se ressourcer dans des moments de fragilité.
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