Infecté deux fois, Stéphane Bern brise le silence sur un virus méconnu

« Un virus que vous avez peut-être déjà dans votre corps… et qui peut ruiner votre quotidien du jour au lendemain. Stéphane Bern en sait quelque chose, et ce qu’il raconte fait froid dans le dos. »

Stéphane Bern, visage emblématique du petit écran, s’est récemment confié sur un mal encore trop méconnu : le zona. Ce virus, qui dort dans notre système nerveux après une varicelle, peut se réveiller brutalement, et les conséquences sont redoutables.

L’animateur ne mâche pas ses mots : « Ça m’est arrivé deux fois, et c’est affreusement douloureux. » Il évoque sans détour des douleurs vives, des éruptions cutanées gênantes, et un isolement social forcé pour certaines victimes. « Personne n’en parle parce qu’il y a un côté dégoûtant », déplore-t-il.

Et pourtant, une personne sur trois sera concernée par le zona au cours de sa vie. C’est énorme. Chaque année, 230 000 cas sont recensés en France. Le stress et la fatigue seraient des déclencheurs majeurs. « Je ne souhaite ça à personne », dit-il.

Ce témoignage puissant ne se limite pas à l’anecdote personnelle : il s’inscrit dans une campagne de sensibilisation baptisée « La Zone à risque ». Son objectif ? Alerter, notamment les plus de 50 ans, sur l’importance de reconnaître les signes précoces et de se faire accompagner.

Si vous ressentez une sensation de brûlure, de picotement, puis des éruptions cutanées dans le bas du dos ou sur le torse, n’attendez pas. Parlez-en à un professionnel. Ce n’est pas qu’une « petite maladie de vieux », c’est une véritable souffrance invisible.