👉 « Quand l’honneur se transforme en embarras : pourquoi Carla Bruni-Sarkozy a vu sa promotion dans la Légion d’honneur s’évanouir à la dernière minute ? »
L’affaire fait grand bruit dans les coulisses du pouvoir et du monde culturel. Carla Bruni-Sarkozy, chanteuse et ancienne Première dame, s’apprêtait à franchir un nouveau cap dans sa carrière honorifique en devenant officier de la Légion d’honneur. Seize ans après avoir été faite chevalier, tout semblait acté : son dossier avait été validé par le ministère de la Culture et la distinction devait être officialisée. Mais au dernier moment, tout a basculé.
Selon des révélations, la grande chancellerie a décidé d’ajourner sa promotion. La raison ? Sa mise en examen dans l’affaire des financements libyens. Une décision lourde de sens, qui illustre la rigueur de l’institution en matière « d’honorabilité ».
Carla Bruni-Sarkozy, surprise par cette information, a confié n’avoir jamais été informée de cette potentielle distinction. Pourtant, le processus était bien avancé. Ce blocage de dernière minute n’est pas un cas isolé : son mari, Nicolas Sarkozy, a lui-même été radié de l’ordre après sa condamnation définitive pour corruption dans l’affaire Bismuth.
Et Carla Bruni-Sarkozy n’est pas la seule personnalité concernée. Le réalisateur Luc Besson a lui aussi été écarté d’une promotion, cette fois en raison d’accusations de violences sexistes et sexuelles, bien qu’aucune condamnation n’ait été prononcée.
Ces cas révèlent une réalité méconnue : entre 10 et 15 % des candidatures sont ajournées chaque année, souvent pour des raisons liées à la justice ou à l’image publique. Une manière pour la grande chancellerie de préserver le prestige d’un ordre censé incarner l’exemplarité.
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